Idyllic Tears.
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 Lady Night~

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Night Romance




Messages : 1
Date d'inscription : 20/02/2011

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Lady Night~ Empty
MessageSujet: Lady Night~   Lady Night~ EmptyDim 20 Fév - 15:55

    « Nom ; Night Romance
    « Surnom ; Lady Night
    « Âge ; 8 ans
    « Robe & Race ; Noir (Elle grisonera vers la fin de sa vie) , PRE X Frison

    « Caractère ;
    A la fois tellement facile en surface, mais dure à deviner. Crois-tu en Dieu ? Moi, je crois en moi. Car je suis mon Dieu. En effet, je n'obéis qu'à moi-même. Les ordres, ne pénètrent même pas mon esprit. Non. Ordonnez moi quelque chose, je vous ignorerais superbement, que cela en sera bientôt déroutant ... Savez vous ce qu'est un iceberg ? Il y a la face visible ; celle qui est belle, magnifique, attirante. Et celle que l'on ne voit pas ; dure, blessante et dangereuse. Voyez-vous, sans me vanter, je suis d'un physique plutôt satisfaisant ; ainsi, la plupart ne se ... méfient pas. Grave erreur mes agneaux, grave erreur ... Car sous le regard séducteur, se cache la partie mauvaise ; celle qui frappe. Encore et toujours. Disons, que la cruauté est quelque chose qui me satisfait. C'est, à la fois distrayant et poétique. Profond, dirais-je. Car, le mot cruel -si beau, si intouchable, la perfection en elle-même ...- est un art ; il faut parvenir à le toucher. J'y suis arrivé, avec les années, et me voici maître en lui-même de cette personnalité. Personne n'atteindra mon niveau ; peut être seulement dans vos rêves. Peut être pas ; car j'habite aussi vos rêves. Je suis tout, et vous n'êtes rien. Une poussière que je balaye négligemment. Personne n'est important pour moi. Aimer, dites-vous ? On dit que Haïr et Aimer sont les mêmes facettes d'un même sentiment. Je ne hais pas. Je n'aime pas non plus. C'est un sentiment ... plus profond. Plus mauvais. Un sentiment bien à moins, point. Certains, dis-je que je suis égoïste et orgueilleux ; pourquoi nier la vérité ? Je me fiche de mes soupirants, de mes soldats dévoués corps et âme. Qu'ils puissent mourir dans les flammes de l'enfer ! Orgueilleux ? Car, je peux revendiquer quelques choses, moi ... Vous découvrirez, peu à peu, un être lié aux enfers, détrônant satan lui-même ; un être ... sanglant, nonchalant. Qui ne vous plaira que très peu.
    « Histoire ;
    « Poussez par l'envie. Cette envie, qui en était presque dérisoire. Que veux-tu ? Tiens, mon coeur, mon souffle, mon âme ... Tiens, prend tout ce que j'ai. Mais de quoi j'ai l'air ?! Du Magicien d'Oz ? Crois-tu, qu'en un coup de baguette, en une parole, je peux t'aimer ? Crois-tu, qu'en un simple baiser dérobé, le désir apparait ? Aide-moi, s'il te plait. Je suis dérouté. Dépassé. Aide-moi. Déteste-moi. Parce que "aimer" est pêcher. »
    Je n'ai jamais, vraiment ... souffert au sens figuré. Était-ce, la mort coup sur coup de la vie en elle-même ? Était-ce ce douloureux souvenir, d'un amant au sourire mielleux ? La souffrance est une chose intouchable, que l'on ne peut atteindre. Elle fait rêver, et le désir de la posséder ne s'essouffle jamais. Mais, quand on là, c'est comme essayer d'enlever une catin de son client ; ça s'accroche et ça reste. Que faire ? Attendre, souffrir en serrant les dents. Essayer de partager sa souffrance dans le mauvais sens. C'est horrible ... Et c'est comme ça. C'est salop, c'est mauvais c'est ... horrible. Mais la souffrance, est plaisante. Sa compagnie berce les mœurs ; pour faire mal autre part. La souffrance, c'est sacré. On est tous masochiste. Certains diront que non ; alors, ce sont des menteurs. Car, je n'ai pas honte d'être masochiste. Non, je le revendique, car j'assume. Cette pensée me fait souvent sourire. Masochiste, vers l'avenir ... Nous aimons nous faire plaindre. Nous aimons être le centre de l'intérêt. Car nous sommes des rats, de la vermine ; on en veut encore et toujours. On aime promettre et se dérober en une habile pirouette. On les laisse se détruire petit à petit ... Distrayant. Saloperie de catin, va ...
    Le clapotement de mes sabots contre les rochers parvint à me faire sortir de mes pensées nébuleuses ; la verdure parcourait le marbre fendu, les pierres écroulés. Se fut, sans l'ombre d'un sourire que j'avançais. Promenant un regard nonchalant, allumé par une étincelle suspicieuse, j'entrepris de visiter ce territoire jusqu'à lors inconnu. Je cédais sous mon propre caprice ; un vis que je ne parvenais pas à m'en détacher. Nous avions - et nous aurons - les doigts entremêlés, marchant vers le destin. Je ne renonce pas à une partie de moi-même comme ça ; je la chéris, je trouve la faille ; et je la rejète. J'essayais constamment de me faire plaisir. C'est tout. Anarchiste ? Certainement pas. Je me qualifierais dans un certain sens de dictatrice ; même si, on est libre de penser. Je suis sournoise, pas malade. C'est tout.
    Balayant les alentours d'un regard nonchalant, je me campais sur mes membres, la respiration régulière. Je me sentis raidir, cherchant trâce équine ; ainsi rassurée, je continuais de marcher, de faire dans un sens ma propre dance. Je vivais.
    Comme pour me le prouver, j'inspirais une grosse bouffée d'air.
    - Grande soeur ?
    « Le Monde est pathétique ... Mais toi encore plus. Retourne dans le tréfond de ta médiocrité, et prie pour sa survit ! die Ungerechtigkeit !! »
    La médiocrité est un point insensé de la bêtise du vivant ; on plonge, on coule, sans pouvoir sortir la tête hors de l'eau. C'est tellement ... Pitoyable. C'est tellement con. On a envie d'en mourir de honte, cependant, je gardais la tête haute, rétorquant les insultes, enfermés dans mon narcissisme et ma grandeur. Un exercice à la fois qui vous prenait au dépourvu, comme il vous distrayait, voir vous amusait. C'était aussi effrayant de rire de sois-même, de rire des autres, de ceux qui vous on tendu la main ; vous la refusé, d'un geste sec, moqueur, un brin provoquant. Le regard brillant, celui de Renart ( HS : Renart est le nom d'un personnage, donc l'orthographe est différente, ce n'est pas une erreur de ma part . ) quand il s'apprête à dérober la nourriture au paysan. Renart était certainement mon héros préféré, même si je préférais le pêcher d'Ulysse, celui de goûter la Magicienne en oubliant les nuits sa femme. Ou le narcissime d'Achille, porté sur la vague de sa grandeur qui le dépassait.
    A quel point la grandeur vous dépassait ? Je l'ignorais. D'un geste nonchalant, je me retournais, fixant la femelle qui me faisait face, d'un regard accéré, parsemé ci et là d'une étincelle mauvaise, quoi que camouflé par la colère et la question.
    «-My der Zwilling ...»
    Dis-je de ma voix feutré. Rien que de savoir le comment du pourquoi, je sentis tout simplement mes membres se dérober sous moi-même ; la force m'avait quitté. Je me rattrapais avec souplesse, feignant l'agacement. Je me détournais de la femelle charbon, avec une élégance spontannée.

    « Clan ; Je sais pas encore

    « PUF ; Destruktiven Hurrikan
    « Comment as-tu connu IT ? Par de la PUB
    « Autre ; xX
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